La demande en mariage

Being W

Aujourd’hui sort en salle le nouveau film de Karl Zéro et Michel Royer : Being W (Dans la peau de George W. Bush).

Pour l’occasion, mon comparse Yannick Lejeune et moi-même sommes allés la semaine dernière à une projection bloguesque dans les locaux d’EuropaCorp, la maison de production et distribution de Luc Besson et Pierre-Ange Le Pogam.

Après un pique-nique bienvenu et des discussions polies avec les autres convives, nous avons été amenés (nous et la 20aine de blogueurs parisiens invités à la séance privée) à une salle de projection aménagée de telle sorte que les 5 premiers à franchir le pas de la porte seraient confortablement installés dans des fauteuils en cuir et les 15 autres  le cul tassé sur des chaises en plastique.

Bien évidemment, nous nous sommes jetés sur les fauteuils en premier et permis de rabrouer “gentiment” les râleurs réclamant justice parce que soi-disant ils étaient arrivés les premiers et gnagnagna. J’vous jure, les gens sont d’une indélicatesse parfois.

Mais parlons du film puisque c’est le sujet du jour.

Being W
envoyé par leblogcine

Being W est un excellent résumé de la carrière politique de Bush. Le film reprend l’exact même concept que Dans la peau de Jacques Chirac si ce n’est que l’imitateur n’est cette fois pas Didier Gustin mais Jim Meskimen qui fait un travail d’imitation admirable.

Photo de b-r-m

Le film fait écho à Fahrenheit 9/11 avec plus de recul (fin de mandat oblige) et moins d’acharnement puisqu’il s’agit là d’un bilan et non d’un film de propagande. Certaines archives sont inédites (et parfois troublantes), d’autres sont bien connues (voir un peu usées). Il laisse toutefois le spectateur sur une drôle d’impression, car si le film s’attarde au départ sur l’aspect comique du personnage Bush lors de ses premiers pas en politique, il plonge lentement dans le chaos de la guerre en Irak et le cynisme désarmant du futur ex-président.

Perso je n’étais pas convaincu des dernières 20 minutes qui selon moi s’apparentaient plus à ce que l’on voit quotidiennement aux infos sans chercher à délivrer un autre message que “Bush c’est un connard”. Car on s’attend à des réponses, on voudrait que Bush, qui est le narrateur de l’histoire, nous explique le pourquoi du comment. Bien sur c’était impossible, et c’est ce que nous expliquèrent les réalisateurs après coup. Leurs intentions étaient de faire un bilan et laisser une trace pour les années à venir, pas de partir dans l’extrapolation.

Le changement d’ambiance tout au long du film est assez étrange également. On a tendance à rire au début, puis l’atmosphère devient de plus en plus pesante au fur et à mesure que W fait des morts. Là encore, Karl Zéro nous expliqua que le but du film n’était pas de le rendre sympathique et qu’il y a même des choses sur lesquels on ne peut pas déconner (cruel manque de cynisme).

Pour la faire courte c’était très sympa et je recommande le film (EuropaCorp pourra tranquillement me réinviter maintenant). Karl Zéro et Michel Royer sont des mecs über cools qui m’ont paru sacrément brillants et un poil démoralisés par l’avenir. Je leur ai suggéré de faire un troisième Opus sur Putin, si c’est une idée à la con ça a eu le mérite de les faire marrer.

Photos du Festibloug

AK






Boulet








Boulet et Bapton à la soirée des auteurs qu'on avait organisé au Eat Me









Boulet en dédicace








La queue de Boulet (c'est énorme)








Bruno mon colloc que j'ai forcé à venir m'aider à gérer l'évènement sinon on était trop dans la merde.
Je te remercie mon ami d'avoir sacrifié ton week-end par amitié pour moi. Je suis touché et te suis éternellement reconnaissant et je n'oublie pas non plus que je t'avais promis des hordes de filles célibataires pour te motiver alors que c'était pas vrai. Je te remercie encore plus du coup pour ne pas m'avoir cassé la gueule à la fin du festival et pardonné cette basse traitrise.







Bruno à la soirée (de face prenant une pose tout ce qu'il y a de plus naturelle)








Capucine et Fred tout ce qu'il y a de plus sobre.








Ces raclures de Waltch et Ced vendant leurs dédicaces 14,50€.









La soirée des riches









La soirée des pauvres









la guilde des commentateurs de blogs








Boulet à la soirée des auteurs








Les pirates du Fessetonblog






Turalo animant le Festifight Club






Le Festifight Club







Séance de dédicaces girlie chez Agnès B (faut que je case les sponsors) avec Lilla, Marie Voyelle, Marie Margo et Pénélope.







Séance de Guitare Hero avec Stan à gauche et Poipoi au milieu et un mec flou à droite.







Marie Margo et Boulet génés par les émanations d'Inti.







Kangoo qui se la pète grave dans son t-shirt comboutique ("penser au sponsor", ça c'est fait)







Kangoo qui décidément se la pète grave dans son t-shirt comboutique







Kangoo et Magnum.
Merci à vous les mecs, vous cartonnez.








Pouib







 
Grâce à sa baguette magique, Turalo changea Ullcer en son fantasme de toujours.







Grâce à sa baguette magique, Kek changea Pénélope Jolicoeur en son fantasme de toujours.







Leah et oim (et Yannick derrière)









Max de profil (suspicieux)









Max de face (étonné)









Max de 3/4 (effrayé)

Merci pour ton aide camarade ça fait plaisir de voir que sous tes dehors de connard, tu es un ami sur lequel on peut toujours compter (je prépare le terrain pour l'année prochaine).









La queue et au fond Max et Nicolas (qui a très envie de faire pipi ou qui se touche à la vue d'une jeune blogueuse)







Les big boss du Festival qui n'auraient rien pu faire sans les 13 ami(e)s fidèles qui les auront épaulé.







Bruno qui ne croit pas un traitre mot de ce que je viens de dire précédemment.








Pénélope au réveil. Son rituel, toujours le même: d'abord un bon café, puis un bon rasage, et enfin elle est prête pour enchainer 6 heures de dédicace.








Ryoga, l'homme de toutes les situations. Genre si vous avez besoin à l'arrache d'un dessinateur pour faire n'importe quoi un week-end et risquer de se faire embarquer par les flics, c'est le meilleur (donc je te remercie encore une fois chaleureusement pour ce wk! you are the best!)









Turalo a qui on a fait croire qu'il avait sali la façade de Loisirs et Création (et hop encore un sponsor)








Ullcer en dédicace










Ullcer et Lucie d'Album (yeees encore un) qui n'ont jamais compris qu'il suffisait d'appuyer sur le bouton rouge pour faire marcher les talkies.







Ni qu'il fallait l'allumer pour entendre les autres.
Cette photo n'est qu'une publicité subliminale pour le blog de Franquin.








Vincent Caut à gauche et un pote à lui interviewés par Public Sénat.















Un cubain révolutionnaire et Leah






Yannick la star






Yannick le lapin





Allez j'arrête de vous embêter avec les photos, la prochaine fois ça sera les vidéos huhuhu. (le reste des photos est visible sur le compte Flickr du Festiblog)